Attention: sujet réservé à Oron. Merci de votre compréhension...
Epysandre sourit et se dirigea vers la porte de l'herboristerie, invitant Oron à sortir. Puis elle pénétra à son tour dans cet environnement de fin d'après midi brumeux et referma la porte derrière elle, glissant les clés dans sa sacoche. Bien qu'elle sache que cela n'était pas très poli, elle ne pouvait s'empêcher de fixer son interlocuteur avec une curiosité grandissante. Ses traits, son allure et sa manière d'être étaient si particuliers qu'ils semblaient n'être pas tout à fait humain, et c'est cela qui intriguait l'albinos. Il y avait dans cet être une harmonie et une plénitude trop parfaite pour qu'il ne soit qu'un simple mortel comme elle.
Son regard s'attarda sur la chevelure de son compagnon, à la teinte si semblable à la sienne. Un blanc lumineux, lunaire... Elle se sentit moins seule, moins imparfaite, et une ébauche de sourire vint orner ses lèvres. Elle laissa ses pensées divaguer tandis qu'elle marchait aux côtés de ce personnage si spécial. Le silence enre eux ne la dérangeait pas, elle n'avait pas besoin d'avoir recours à un échange verbal pour se sentir à l'aise. Elle fonctionnait plus par impressions, par atmosphères. Mais elle se décida tout de même à prendre la parole lorsqu'ils arrivèrent à la sortie du village, suivant le sentier qui les mèneraient à la forêt.
- Oron... qui êtes-vous exactement ? Pardonnez cette question, mais... pour être tout à fait honnête, plus je vous regarde (un peu de couleur apparut sur ses joues pâles lorsqu'elle s'appercut qu'elle s'était trahie), moins je me dis que vous venez de ce monde.
Son regard s'attarda sur la chevelure de son compagnon, à la teinte si semblable à la sienne. Un blanc lumineux, lunaire... Elle se sentit moins seule, moins imparfaite, et une ébauche de sourire vint orner ses lèvres. Elle laissa ses pensées divaguer tandis qu'elle marchait aux côtés de ce personnage si spécial. Le silence enre eux ne la dérangeait pas, elle n'avait pas besoin d'avoir recours à un échange verbal pour se sentir à l'aise. Elle fonctionnait plus par impressions, par atmosphères. Mais elle se décida tout de même à prendre la parole lorsqu'ils arrivèrent à la sortie du village, suivant le sentier qui les mèneraient à la forêt.
- Oron... qui êtes-vous exactement ? Pardonnez cette question, mais... pour être tout à fait honnête, plus je vous regarde (un peu de couleur apparut sur ses joues pâles lorsqu'elle s'appercut qu'elle s'était trahie), moins je me dis que vous venez de ce monde.